La vie religieuse est une histoire d’alliance, pourquoi?

La vie religieuse est une histoire d’alliance, pourquoi?

Session des junioristes à Paris le 13 au 19 février 2024

Chaque vacance, les junioristes ont profité de faire des sessions pour nourrir les âmes et approfondir l’union avec Jésus. Le mois de février du 13 au 019 février 2024. Sr. Gracia ABRAHAM a proposé comme thème : « La vie religieuse est une histoire d’alliance pourquoi ? » Nous avons commencé notre session tout d’abord en cherchant le mot « Alliance »  dans la bible, les différents livres de nos sources : lettre de Saint François de Sales, les écrits de nos fondateurs et les documents de l’Eglise comme vita consacreta et lumen gentium.

Le premier jour on a étudié notre thème  : « La vie religieuse est une alliance », en tant que religieuses, nous avons fait une alliance éternelle avec Dieu en vivant les trois vœux évangéliques. Notre vie religieuse n’est pas une fonction mais on travaille et nous vivons pour le royaume de Dieu.

Le deuxième jour : « le vœux de pauvreté dans notre vie consacrée». Selon la constitution des Salésiennes Missionnaires de Marie Immaculée n°19b : « nous vivons dans une dépendance totale de Dieu, avec une confiance filiale dans la providence du Père qui veille sur nous avant le lever du soleil ». La pratique de la pauvreté dans notre vie n’est pas une chose extérieure que nous nous imposons, mais une disposition intérieure née du désir d’imiter le Christ, qui s’est dépouillé pour nous.  MMG dit : pour nous gagner, Jésus a tout donné, pour le posséder, avons-nous tout donné ?.

Le troisième jour :   Les étapes d’évolution d’une alliance et les conséquences de vivre cet alliance. : nous voulons tout offrir au Seigneur, de lui rencontre différemment aux différentes étapes de notre vie : d’abord, le matin de premier amour : le premier appel, nous recevons du Seigneur, nous discernons et nous disons « Oui ». Ensuite le deuxième, un temps de responsabilité : nos responsabilités doivent être en lien avec la prière. Nous donnons notre énergie au travail pour la gloire de Dieu. Rien que nous posséderons pour nous-mêmes et enfin, le troisième quand le soir arrive : c’est un moment pour nous lutter entre la vie et la mort. Nous ne devons pas craindre la mort, nous vivons dans la prière au contraire nous sommes heureuses de rencontrer le Seigneur et d’être avec lui pour toujours.

Le quatrième jour nous avons abordé nos sources et  la vie communautaire. Chaque chose a sa source, notre congrégation aussi en a alors pour mieux avancer il faut retourner à la source. Nos sources sont :  l’Evangile, l’Esprit Saint et la spiritualité de SFS.  Dans la vie communautaire on a besoin de délicatesse, de l’écoute, et de pardon. La communauté est une maison de Bon Dieu, alors chacune pouvons nous poser cette question : suis-je heureuse dans ma vie religieuse, ma vie communautaire, mon apostolat et mes engagements? SFS a dit : « Regardez nos sœurs au travers de la poitrine de notre Seigneur ». Donc respectons nos sœurs parce que le Seigneur réside dans chacune d’elle et si la communauté manque de délicatesse devient parlementaire.

Le cinquième jour, on a consacré une  journée de recollection, animé par le Père Olivier NICQUE : il nous a parlé des lettres de SFS en particulier, l’esprit de douceur, qui ravit le cœur et gagne les âmes ». La femme est un signe de tendresse de Dieu pour le genre humain, en tant que vierge, épouse et mère. la grandeur de la consécration religieuse, c’est un conseil Evangélique : l’obéissance, la chasteté et la pauvreté soulignent la purification du cœur et la liberté spirituelle. (CV n°46)

Dernier jour nous avons partagé la vie et l’apostolat de notre Co-Fondatrice Madame Carre de Malberg

Nous avons clôturé notre session par une sortie, nous avons visité plusieurs endroits dans la capitale.

La nouveauté de cette session : tout était à travers le « power point » plus compréhensive. chaque jour à la  fin d’après-midi nous avons fait « En silence  une marche de  prière » notre intention de cette marche pour la paix dans le monde. on a décidée de prier le chapelet dans une église dédiée à Notre Dame. A la fin On a terminé cette démarche dans une famille dédiée à Notre Dame de Velakanni (N D de bonne santé) Nous étions bien nous renforcés spirituellement et moralement.